Les trois dimensions de l’injustice de la sous-représentation

Naïma Hamrouni
dans un chapitre tiré de

Les défis du pluralisme: au-delà des frontières de l’altérité, D. Heimpel et S. Taher, dirs. (2022)

Si les recherches universitaires traitant de la sous-représentation, de la parité ou de l’action positive circulent déjà depuis quelques décennies aux États-Unis, en France et plus marginalement au Canada, ce n’est que plus récemment qu’elles ont trouvé un véritable écho au Québec, à mesure que divers mouvements, portés aussi bien par l’ampleur qu’a pris le mouvement Black Lives Matter que par la popularisation du féminisme, se mobilisaient pour dénoncer les inégalités raciales et de genre qui persistent dans nos sociétés occidentales pourtant dites post-droits civils.

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Naïma Hamrouni est professeure agrégée de philosophie éthique, politique et féministe et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en éthique féministe à l’Université du Québec à Trois-Rivières. Elle s’intéresse aux injustices structurelles à leur expression dans divers contextes institutionnels et sociaux.